
Jouez avec Claude Ponti et Dorothée de Monfreid !
10 salles
Les Chozafères de Claude Ponti
Les enfants ont rendez-vous tous les jours à 10h avec Claude Ponti qui leur propose des "Chozafères" : les enfants pourront se constituer "un album perso à eux tous seuls et à personne d'autre". Découvrez les activités déjà proposées ici: https://frama.link/faistonalbum
Les jeux des Toutous de Dorothée de Monfreid
L'auteure pour enfant et illustratrice Dorothée de Monfreid propose 1 à 2 fois par semaine des jeux pour enfants, à télécharger et imprimer.
Retrouvez toutes ses activités "Les jeux des Toutous" ici : https://www.dorotheedemonfreid.fr/les-jeux-des-toutous/
Les histoires à continuer avec Claude Ponti : AFONSSAFON
Tu peux continuer ce début d'histoire écrit par Claude Ponti :
AFONSSAFON
Afonssafon a 7 ans depuis ce matin 7ho7. C'est une heure de date remarquable. Elle se dit qu'elle doit faire aujourd'hui quelque chose de remarquable. Mais quoi ? Attendre jusqu'au repas du soir pour souffler les bougies du gâteau d'anniversaire et recevoir un cadeau n'est pas remarquable, c'est inutile, et, de plus, elle sait attendre avec impatience depuis mille ans à chaque anniversaire. Alors, que faire de remarquable?
Les histoires à continuer avec Claude Ponti ABISSOULOUF et AGLABOULE
Tu peux choisir parmi ces différents débuts d'histoires écrits par Claude Ponti celui que tu souhaites continuer. Tu peux en choisir plusieurs si tu le veux :
1- ABISSOULOUF
Dans la mer, sur les plages, au pied des falaises, jamais les vagues ne sont imprécises. Elles roulent, s'écrasent, creusent les roches, grondent dans les galets, glissent, s'étalent en écume et repartent plates, lisses, fuyantes entre les orteils. Voilà ce que pense Abissoulouf en regardant les vagues rouler le dos de la mer au loin. À la crête d'une vague, plus longue et plus forte que les autres, nage un Glymouffe. Il est épuisé. Il va mourir noyé. Le sel lui brûle les yeux. L'eau s'engouffre dans ses narines. Abissoulouf plonge et nage vers lui.
Il pousse un tout petit cri...
2- AGLABOULE
Aglaboule est une personne très timide qui vit sur les branches de lunettes. Elle n'est pas grande, on peut même dire qu'elle est toute petite. Il faut bien plus que des lunettes pour la voir. Quand les lunettes sont rangées dans leur étui, Aglaboule est dans le noir. Elle en profite pour dormir. Quand les lunettes sont sur un nez, Aglaboule voit le monde. Et si la personne à qui appartient le nez se déplace, elle voit beaucoup de monde. Un jour...
Les histoires à continuer avec Claude Ponti : BLAFOND et BLOURITTE
Tu peux choisir parmi ces différents débuts d'histoires écrits par Claude Ponti celui que tu souhaites continuer. Tu peux en choisir plusieurs si tu le veux :
1- BLAFOND
Blafond est très en colère. Personne ne l'aime. Personne ne l'écoute. Et personne ne le croit. Il prend sa valise à roulettes, avec son sabre laser, ses pistolets à rayons paralysants, douze sandwichs salade-mozzarelle, son écharpe magique et sa boîte de trois pouvoirs secrets non ouverte. Et là, il fait quelque chose qui n'est vraiment pas bien. Il prend sans permission le vaisseau cosmique intersidéral explorateur de mondes de sa maman...
2- BLOURITTE
Blouritte rencontra, un jour de mauvais temps, Lépoline qui s'était foulée la cheville de trois pattes en glissant dans une mare de boue sur le chemin des vacances d'été. Ces vacances d'été commençaient mal, il pleuvait tellement d'eau de pluie que Blouritte s'était dit qu'il suffisait peut être d'attendre tout simplement qu'une mer se forme devant sa maison. Finalement, non, c'était mieux d'aller voir ailleurs. Elle ne regrettait pas, puisqu'elle avait rencontré Lépoline, qui avait besoin d'elle et qui partait en vacances comme elle. Alors qu'elles cheminaient toutes deux, l'une soutenant l'autre, elles entendirent...
Les histoires à continuer avec Claude Ponti : HELICTOR et GLOMPINS
Tu peux choisir parmi ces différents débuts d'histoires écrits par Claude Ponti celui que tu souhaites continuer. Tu peux en choisir plusieurs si tu le veux :
1- HÉLICTOR
Un petit garçon, Hélictor, avait trois mamans, deux papas, cinq frères, six sœurs, trois demi-soeurs, quatre demi-frères et dis-sept cousins et cousines mélangés. Et cinq grand-mères et cinq grand-pères. Hélictor avait noté dans son téléphone les prénoms de tous les membres de sa famille avec chacune et chacun sa photo, accompagnée d'enregistrements des voix afin de les reconnaître dans le brouillard. C'est justement un jour de brouillard en coton épais comme des œufs en neige qu'Hélictor se perdit, sans son téléphone, ni sa casquette à visière panoramique, ni son goûter. Une heure plus tard, il entendit...
2- GLOMPINS
Dans la forêt profonde et mystérieuse si sombre que parfois les arbres se trompent de branche, vit une famille de Glompins arboricoles sur son arbre personnel, un Blincko Blabong de sept cents ans et quelques mois. Quelques lointures plus loin, vit une autre famille de Glompins, sur un Houtre verdissant de huit cent cinquante ans. Ainsi de lointures en lointures sur leur arbre de famille, vient les Glompins arboricoles. Un bûcheron en tracteur rouge et jaune jonquille spécialisé dans la coupe d'arbres rares arriva un matin...
Les histoires à trous de Claude Ponti : Bravelotte
Voici la fin d'une histoire : "Il faut inventer le début et le milieu de l'histoire pour arriver à la fin."
BRAVELOTTE
.......... début à imaginer ..........
Il neige si fort que Bravalotte ne voit rien et n'entend rien. Elle se guide en tenant Goudbonne, sa virolle mauve, par sa longue queue. Goudbonne connaît le chemin de la grotte où il fait chaud, où il y a de quoi se réconforter, et se blottir dans les bras de Vigoure. Rien n'arrête Goudbonne quand elle veut rentrer, manger et dormir.
La neige à cette époque n'est pas pas normale. Mais qu'est-ce qui est normal au jourd'hui ? Entre le lever et le coucher du soleil, Bravelotte vient de traverser un printemps, un été, deux automnes et un hiver. Soudain Goudbonne jappe et saute de joie. La grotte est là. Une odeur de soupe aux champignons, une bouffée de chaleur, des cris de joie. Vite dans les bras de Vigoure.
Les histoires à trous de Claude Ponti : La boue
Histoire avec le début et la fin, mais dont il manque le milieu.
LA BOUE
Une terrible coulée de boue entoura l'école pendant la récréation. La boue épaisse, brune, verte, et gluante forma un lac immense autour de l'école. Si immense qu'on n'en voyait pas la fin. Heureusement l'école était sur une hauteur et la boue n'est pas entrée dans la classe. C'était une école d'un tout petit village où il n'y avait qu'une seule classe avec des enfants de tous les âges.
La boue n'a jamais fait peur à un enfant de la campagne. Mais, elle inquiète les parents, surtout si cette boue entoure l'école sur une si grande surface que l'école est inaccessible.
«Combien de temps cela va durer? Qu'est-ce qu'on va manger? Il y a des glaces à la frambouille? On est obligés de se laver les mains? Il y a assez de gâteaux? Comment faire pour que nos parents ne soient pas inquiets?» demandèrent les enfants.
…..........milieu à imaginer.........
Les parents regardaient leur enfants qui courraient vers eux sur la boue épaisse, brune, verte, et gluante. Sans s'enfoncer, sans se salir. Trois semaines s'étaient écoulées. Et tout le monde allait bien. Même la boue qui s'était installée pour 250 ans.
Les histoires à trous de Claude Ponti : Le Blaire
Histoire avec le milieu, mais dont il manque le début et la fin.
LE BLAIRE
…....début à imaginer.......
«Non! S'écria Swenn, non! Pas comme ça.»
Mais Perdrule continua sans l'entendre. Il tenait les pattes avant du Blaire et essayait d'attraper les pattes arrières.
« Arrête, tu lui fais peur, il va...»
« Ouille, hurla Perdrule, il m'a piqué!»
De son dard d'oreille, le Blaire lui avait piqué la main.
Elle enfla. Gonfla comme un ballon rouge, énorme et Perdrule décola. Emporté par le vent, les pieds à deux mètres du sol, il dérivait vers les champs de champignons champions chanteurs.
Alors, ...
…....fin à imaginer......
Les histoires à trous de Claude Ponti : Miloune
Histoire avec le début et la fin, mais dont il manque le milieu.
MILOUNE
Miloune était sûre d'une chose. Ce gâteau n'était pas un vrai gâteau. Il y avait trois cerises dessus. Il n'y avait jamais trois cerises sur un gâteau. Personne ne ferait ça. Ça n'avait aucun sens. C'est comme si le jour commençait par le soir, ou si les cormarrands cessaient de rire. Miloune alla chercher un marteau.
Quand elle ne leva pour éclaptatouiller le gâteau, il prit la fuite.....
….... milieu à imaginer ......
Miloune souriait en pensant aux Breuneuches. Pas très finauds. Peut-être parce qu'ils avaient trois doigts à leurs trois mains, ne pensaient-ils que par trois. Trois cerises, trois flaques d'eau, trois verres aux lunettes, trois jambes au pantalon. Ils étaient vraiment bêtes.